} Dear Curse, dear Wizards... [PV Lence De Tempérance]
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Dear Curse, dear Wizards... [PV Lence De Tempérance]
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MessageSujet: Dear Curse, dear Wizards... [PV Lence De Tempérance] Dear Curse, dear Wizards... [PV Lence De Tempérance] EmptyMar 3 Juil - 19:27
LEYSTER Neptun
&
DE TEMPERANCE Lence
Dear curse, dear wizards...
Putain !

Neptun courait, haletante, slalomant entre les arbres de la Forêt des Elfes. Ses collants étaient déchirés par les orties et les ronces sur le chemin. Elle ne se préoccupait pas de suivre un chemin précis, elle voulait juste s’enfuir, loin, le plus loin possible, avant que tout n’empire. Et à côté d’elle, Kuro, qui riait de la situation. Il la suivait dans son élan fou tout en se moquant d’elle sans aucune vergogne.

Neptun lui hurla de se la fermer. Il allait la rendre tarée, ce truc noir tout bizarre, flottant tantôt à sa droite, puis sa gauche, selon les branches d’arbres. Elle en regrettait presque Shiiro, la version de son Familier bien plus amical et mignon. Un peu bête aussi, mais c’était toujours plus agréable qu’une boule de haine condensée. Infernal à vivre, elle avait presque envie de puiser dans le peu de magie qu’elle pouvait s’octroyer pour l’enterrer vivant. Inutile évidemment, et incroyablement stupide. Aussi, elle continua de courir.

Ce n’était pas de lui, qu’elle cherchait à s’échapper. Mais d’elle-même. Elle avait encore raté son coup, et elle le regrettait. Avec d’autres élèves, ils avaient voulu préparer une petite blague. Rien d’important, juste de quoi embêter certains professeurs. Ils voulaient juste changer les réserves de café de l’école en pipi d’aurisson, rien de bien toxique ou de réellement grave. Ils avaient planifié leur coup depuis la veille, sauf que ça avait dérapé. Et pour sortir ses amis du pétrin, Neptun avait utilisé un puissant sort d’invisibilité, réclamant beaucoup de ressources pour un temps extrêmement limité. Ses camarades devaient d’ailleurs se demander où elle était passée. Mais c’était trop tard, sa Malédiction s’était déclenchée.

Elle sentit soudainement l’acier froid contre sa hanche, qui la ramena à la réalité. Ressasser la scène ne servait à rien, il fallait qu’elle aille se calmer au loin. Elle tira encore plus sur les manches de sa veste d’uniforme, pour cacher de sa vue ses mains, devenues deux pistolets la terrifiant au plus haut point. Une avancée notable, elle était loin des autres, et si jamais elle venait véritablement à péter un plomb… Au moins, il n’y aurait qu’elle qui prendrait. Néanmoins, il faut vite qu’elle trouve un coin calme, pour se poser, souffler, et reprendre ses esprits.

-Pourquoi tu ne cèdes pas ? Après tout, tu n’es qu’un être pourri de l’intérieur !
-Fermes-la Kuro !

Neptun s’adossa quelques secondes à un arbre avant de repartir. Epuisée, certes, mais cela était une nécessité à ses yeux. C’était une réaction qu’elle avait appris à développer au fil des années, afin d’éviter toute dégradation supplémentaire. Si jamais elle venait à blesser quelqu’un sans s’en rendre compte, elle s’en voudrait tellement qu’elle ne savait pas trop comment est-ce qu’elle réagirait. Puis cette Malédiction qui aggrave tout ! Invivable…

Un trou entre les arbres, et de la lumière. Finit l’ombre constante de la forêt dense, Neptun venait sûrement de trouver une clairière. Elle activa le pas, avec un peu de chance, elle pourrait se reposer et trouver le chemin du retour sans encombre. Elle joua des coudes pour passer entre les arbres, ne pouvant se servir de ces mains. Oui, elle savait bien dans le fond que ces armes n’étaient que des hallucinations. Mais sur le moment, l’adrénaline et la peur étaient telles qu’elle ne parvenait plus à discerner le vrai du faux. Puis c’était tellement réaliste…

Le dernier arbre fut dépassé, et Neptun débucha pile à ce moment-là, le nez dans l’eau. De l’eau ? Mais… Neptun leva la tête, et à sa surprise, elle ne se trouvait pas dans un coin herbu mais bien devant le Lac des Sirènes. Elle savait que ce lieu était fréquenté par de nombreux élèves, mais surtout en été, lorsqu’il faisait chaud et qu’ils pouvaient venir se baigner. Or, aujourd’hui, le temps nuageux et la température plutôt assez fraiche ne permettaient pas un tel loisir. Seule, donc. Dans un lieu apaisant.

Neptun se releva péniblement et retira ses chaussures, pour tremper ses pieds dans l’eau et s’asseoir au bord du lac. Kuro tournait toujours autour d’elle, mais restait silencieux. Il semblait petit à petit perdre le contrôle, même sa mauvaise conscience guettait encore la moindre rechute. Neptun haletait et pleurait comme une enfant, se forçant à se calmer, en appliquant les exercices de relaxation qu’on lui avait appris, aux débuts de sa Malédiction, seul moyen efficace de la calmer. Elle gardait ses mains loin de sa vision pour ne pas paniquer plus, et ainsi s’apaiser.

Tout aurait pu être parfait. S’il n’y avait pas eu un détail. Du bruit, du mouvement, non loin d’elle. La voix cassée par la peur, elle hurla sans se poser de question :

-Allez… Allez-vous-en !

Voix chevrotante, cassée. Preuve en était de sa grande détresse. Mais si quelqu’un venait, cela risquait de mal finir pour lui. Un risque qu’il ne fallait pas prendre, pour le bien des deux concernés. Cette remontée de peur redonna de la vigueur à Kuro, et à sa Malédiction. Elle sentait l’acier froid dans ses mains… Invisible pour les autres pourtant, hallucination puissante…
Neptun Leyster
Neptun Leyster

Profil


Espèce
: Sorcière

Familier
: Esprit farceur bipolaire ; Shiiro ou Kuro selon l'humeur

Situation
: Célibataire
Dragon
Dragon
Messages : 24
Points : 22
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MessageSujet: Re: Dear Curse, dear Wizards... [PV Lence De Tempérance] Dear Curse, dear Wizards... [PV Lence De Tempérance] EmptyLun 20 Aoû - 23:42

De Tempérance
Lence

Leyster
Neptun

「 DEAR CURSE, DEAR WIZARDS... 」

Il tira d’un coup sec sur le petit lacet attaché au bout de la fermeture éclaire de sa combinaison. Il rajusta calmement le caoutchouc noir et rouge qui recouvrait une grande partie de son corps. Partant du genou pour remonter le long de son cou et enserrer ses avant-bras, cette tenue lui permettait d’affronter la froideur de l’eau même en cette saison et de profiter de sa passion. Lence se laissa ensuite glisser contre la pierre pour poser ses pieds dans le lac et apprécier le premier contact.
Il soupira longuement en reportant le moment où il entrerait complètement dans l’eau, juste pour réfléchir et faire le point. Un point sur quoi ? Et bien absolument tout. De la simple question existentielle, « à quoi ressemble cette fameuse bibliothèque de la Chambre du Sphynx ? », aux remords inutiles et vides de sens sur une remarque un peu trop hâtive dites la veille au professeur de SVT. C’était comme un rituel qu’il entretenait chaque fois avant d’entrer dans l’eau. Sélectionner les sujets auxquels il allait réfléchir en s’immergeant, écarter ceux qui ne méritaient pas son attention ou qui lui gâcheraient ce moment.
Le jeune homme s’arrêta quelques secondes sur ses derniers cours de métamorphose. Sa progression se faisait plus lente ses derniers temps, et bien qu’il arrivait à maintenir de plus en plus longtemps sa forme reptilienne, il espérait mieux. C’est à ce moment que son familier décida de venir s’enrouler près de lui et d’attirer son attention par un sifflement lascif.
« Tu en demandes trop à toi-même. Passe à autre chose. »
Le sorcier approuva d’un hochement de tête avant de reprendre sa contemplation des ondulations de l’eau sous l’effet des petits mouvements circulaires de son pied.
Passer à autre chose … la famille ? Non, trop de problèmes à gérer. Son anniversaire qui approche ? Oui, tien, que pourrait-il demander ? Et puis non, trop futile comme réflexion. Là, il avait besoin d’un débat interne, même vide de sens mais quelque chose sur laquelle réfléchir.
« Tes relations sociales et amoureuses au point mort ? »
« La ferme, sale bête. »
Sa remarque n’était pas méchante dans le fond, mais le sujet était un peu trop sensible à son goût pour que son ami puisse rire ainsi dessus. D’ailleurs ce dernier lui adressait un pied-de-nez de la taille de Burj Khalifa en continuant de ricaner à quelques centimètres de lui. Lence se laissa alors glisser dans l’eau en donnant l'ordre à Nâga de veiller sur ses affaires. Pas besoin de nourrir plus que nécessaire la moquerie du cobra, bien que cela soit déjà un peu trop tard.
L’eau était comme prévu particulièrement froide. Mais paradoxalement, cela lui faisait du bien. Lorsque l’on se plonge dans une température aussi basse (toute proportion gardée), on sent soudainement le moindre pore de sa peau. Chaque centimètre carré de votre épiderme est mis à vif durant un lapse de temps très court avant que toutes sensations ne soient tuées ensuite par le froid, justement. C’est une poignée de secondes durant laquelle on se sent encore plus vivant, juste avant que tout ne cesse et ne fasse place à un vide total propice à la réflexion. C’est … étrange mais agréable.
Et c’est à ce moment même que les mots de Nâga refont surface.
« Mes relations sociales et amoureuses … Il est gonflé … »
Le jeune homme se mit à nager lentement, s’enfonçant un peu plus profondément dans le lac. Sa première respiration était la plus longue, il comptait en profiter le plus possible. Dés qu’il atteignit une profondeur respectable, il se retourna dans l’eau pour faire face à la surface. Il laissa l’air sortir petit à petit d’entre ses lèvres pour se maintenir sous l’eau et prolonger sa contemplation.
« Quel parfait idiot … moi qui ne voulait pas me prendre la tête avec un débat vide de sens. »
Une foule de sous-questions et de contradictions vinrent alors se pousser contre les parois de son cerveau. Il maudit une nouvelle fois son compagnon en profitant des dernières secondes d’air qui lui restaient. Il n’y avait rien à dire là-dessus, pas d’argument à apporter, ni même de débat !
Lence remonta alors à la surface lentement, une brasse après l’autre. Pas besoin de se presser, rien ne l’attendait à la surface.
Lorsqu’il immergea, Lence tomba aussi tôt nez à nez avec le museau de son familier. Celui-ci l’attendait sur le rebord de l’avancée de rocher qui se jetait dans l’eau. La langue du reptile sortit une première fois avant que celui-ci ne reprenne.
« Alors ? Conclusion ? Tu es seul, Lence. »
« Et alors ? Est-ce un crime ? »
« Va savoir. »
Voila un échange bien fructueux. Mais bon, c’était la moquerie d’un ami. Il ne fallait pas s’attendre à une réflexion métaphysique. Lence se prépara alors à répondre, mais un bruit de craquement attira son attention, et celle du serpent. C’était un craquement de feuilles et de branches qui annonçaient l’arrivée d’une personne ou d’un animal courant à vive allure à travers la forêt, et qui se dirigeait en direction du lac.
« Nous sommes partis depuis combien de temps ? »
« Une heure et quarante-cinq minutes environ. »
Lence avait eu le réflexe de demander cela au cas où quelqu’un serait venu les chercher. Ils avaient pris le temps de faire un détour par la forêt, et malgré le temps libre qu’il leur avait été accordé personne n’était à l’abris d’un quelconque problème.
Mais malgré toutes les appréhensions du sorcier, ce fut une élève qui sortit à toute vitesse d’entre les arbres. C’était une Dragon s’il se fiait à son uniforme, une dernière année donc. Elle était assez grande, les cheveux d’un bleu électrique remarquable et surtout particulièrement longs. Lence échangea un regard avec le serpent avant de revenir à cette intruse. Elle courait droit vers l’eau, ce qui inquiéta aussitôt Lence. Mais ce qu’il remarqua surtout, c’était la bête noire de petite taille qui virevoltait autour d’elle.
« Tu vois ce que c’est ? »
Nâga répondit par la négative. Il ne prit même pas la peine de regarder son maître, tant son attention était focalisée sur la jeune femme. Celle-ci arrêta d’ailleurs sa course près de la rive. Elle était à quelques mètres, assez loin pour qu’elle ait pu ne pas remarquer le sorcier mais pas assez pour être inaccessible. Le jeune homme prit alors la décision de s’approcher de la nouvelle arrivante. Quelque chose lui disait que tout n’allait pas bien.
« Prends mon sceptre et rejoins moi … »
Il s’avança lentement, marchant plus ou moins dans l’eau qui lui arrivait à hauteur de la hanche. Il l’allait la prévenir de sa présence, mais celle-ci l’arrêta immédiatement en criant.
« Allez… Allez-vous-en ! »
La Dragon semblait être en pleine crise de panique et la boule noire, qui s’avérait être une sorte de familier, ne devait pas l’aider à se calmer vu son air agressif et ses paroles assaillantes.
« C’est bon. Je ne te veux pas de mal. Qu’est-ce qu’il y a ? »
Lence jeta un rapide regard au familier de la jeune femme, puis vers le sien. Nâga avançait lentement, portant son sceptre entre les anneaux qu’il formait au sol, d’une manière assez astucieuse. C’était une assurance du plus. L’attention du jeune homme se tourna de nouveau vers la jeune femme. Qu’est ce qui aurait pu la mettre dans un état pareil ? Un animal ? Une moquerie trop méchante ? Ou … une malédiction ?
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MessageSujet: Re: Dear Curse, dear Wizards... [PV Lence De Tempérance] Dear Curse, dear Wizards... [PV Lence De Tempérance] EmptySam 22 Sep - 15:13
LEYSTER Neptun
&
DE TEMPERANCE Lence
Dear curse, dear wizards...
La vision troublée par la peur et la folie rendit plus difficile sa tentative de reconnaitre la personne qui venait de s’approcher d’elle. Un jeune homme, visiblement élève comme elle, le corps à moitié dans l’eau glacée, et habillé d’une tenue de plongée. Neptun aurait presque pu grogner contre elle-même si ses pensées étaient encore assez claires pour ça. Elle qui pensait se retrouver en tête à tête avec sa conscience, elle était tombée sur le seul illuminé qui avait la foi de faire trempette en plein mois de Février… Improbable, et pourtant. Fuck fut sa seule pensée en comprenant qu’elle avait bel et bien hurlé sur quelqu’un.

-C’est bon. Je ne te veux pas de mal. Qu’est-ce qu’il y a ?

Ses larmes remontèrent de plus belle, et elle se remit à pleurer en haletant, ne sachant comment réagir. La morsure de l’acier froid reprit de plus belle, et elle baissa un regard perdu sur ses doigts qui enserraient la poignée d’un pistolet à plomb, qu’elle devinait parfaitement fonctionnel. Il suffirait d’un doigt qui appui sur la gâchette, et une balle jaillirait à la vitesse du son, traçant sa route jusqu’à rencontrer un corps solide à transpercer. Neptun pourrait oser lever le bras vers cet inconnu, et voir son sang rouge se mêler au bleu de l’eau. Elle pourrait le blesser…

Elle releva le regard vers l’autre élève, toujours perdu. Lorsqu’elle ne regardait pas ses mains, elle arrivait à rationaliser : tout ceci n’était qu’une hallucination. Mais ces mots étaient incapables de franchir sa bouche, elle était sous l’emprise d’un effroi total. Elle aurait bien voulu aligner quelques mots, mais Kuuro s’en chargea pour elle, crachant le verbe comme un fou hurlerait son plan de génie :

-Monsieur bonjour ! Vous venez de rencontrer une folle. Attention, elle va vous tirer dessus !

Kuro explosa d’un rire malsain, avant de se remettre à virevolter autour d’une Neptun qui ne pouvait lâcher du regard les yeux de l’inconnu. Ils étaient d’un noisette particulièrement banal, ce qui lui fit penser à autre chose une demi-seconde, le temps de reprendre une respiration correcte l’espace d’un instant afin d’éviter de suffoquer de peur. Ses iris roses cherchaient un quelconque soutien, alors que sa bouche lui hurla de fuir :

-Je… Je ne suis pas stable. Partez ! Ça va l’aggraver… Si vous restez… La Malédiction…

Nouveau flot de larmes. Rien de plus, pour l’instant. Elle arrivait à se calmer juste assez pour rester passive, et Kuro était bien trop concentré sur cet élève pour recommencer à monter le bourrichon à sa propriétaire. Neptun tenta de bouger ses doigts pour tester la situation, et se rendit compte qu’ils étaient toujours collés à cette arme invisible. Elle se demanda pourquoi sa Malédiction était si complexe. Certains avaient juste des phobies prononcées. Certains se plaignaient seulement d’une peur du vide intense, d’une peur du noir, des trucs un peu banals, comme ça… Elle, il fallait que sa peur de blesser autrui de manifeste sous la forme d’un objet capable de le faire. Elle n’aurait pas pu avoir des migraines ? Un nurofen, et c’aurait été réglé…

Neptun était une propre énigme pour elle-même. Pourquoi être une jeune femme détestable avec tout le monde si c’était pour le regretter ensuite ? Il fallait dire aussi que sa Malédiction avait fait ressurgir des pensées sombres qu’elle avait toujours refoulé lors de son adolescence. Et le seul moyen pour se sentir mieux face à ses dilemmes psychologiques qu’elle avait trouvé était de s’affirmer, de se créer un masque incompréhensible. Sauf qu’à l’époque, le social, c’était un mystère pour elle. Et elle n’était pas tombée dans les bons travers de la popularité…

Cette introspection fut en réalité très rapide. Peut-être le temps d’une brève respiration. Mais ce fut suffisant pour oublier un instant la présence d’une autre personne, afin de commencer à reprendre le contrôle sur elle, et de calmer ses larmes naissantes. Kuro continuait de tourner, cette fois s’orientant plutôt autour de la tête de l’élève, attiré par ce trait de nouveauté. Le Familier ne l’avait vu avant ; même lorsqu’il était Shiiro. Il n’était sûrement pas un Dragon. Puis il leva brièvement les yeux et reconnu un uniforme rouge dépassant d’un sac, plus loin. Phénix. Assez grand pour lui tenir tête, pas assez vieux pour se sentir supérieur. Kuuro s’en délectait. Tant qu’il arriverait à maintenir Neptun dans cet état, il pourrait aussi s’amuser à tourmenter cet inconnu. Quel délice ! Mais Neptun le coupa dans ses pensées en reprenant :

-Je ne sais pas qui vous êtes… Mais vraiment… ça vaut mieux pour nous deux que vous me laissiez tranquille…

Neptun se battait contre elle-même intérieurement, toujours oscillant entre la peur, els larmes, et le contrôle de soi. Triste spectacle dépeint à cet arrivant. Elle aurait bien aimé le rencontrer dans une autre situation, tien. Elle était persuadée qu’il avait un petit sourire mignon qu’elle aurait adoré embêter pour le plaisir.

Neptun Leyster
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