Histoire
C’est une journée pluvieuse d’automne que je suis né. Dans la chambre de mes parents avec l’aide d’un vieux médecin sous les yeux inquiets de mon père et de mon grand frère ainsi que les cris de ma mère.
– Félicitation, c’est une fille. Attendez! Je crois que vous avez des jumeaux!
Mes parents ne pouvaient pas savoir que j’étais avec une sœur jumelle. Là où nous nous trouvions, il n’y avait pas d’appareil pour le faire. Le médecin réussit tant bien que mal à faire sortir la deuxième petite tête blonde.
– Félicitation, c’est une autre fille. Qu’elle nom aller vous choisir?
Ma mère me prit moi et ma sœur dans ses bras en se laissant tombé sur son lit totalement épuisé.
– On voulait appeler notre enfant Gwenn si c’était une fille. Ce sera le nom de la première et pour la deuxième… Que dites-vous de Eden?
Mon père acquiesça en me prenant dans ses bras avec Eden pendant que mon grand-frère fit un câlin à ma mère et que le médecin rangeât ses affaires.
Ainsi, ma sœur et moi sommes venu au monde. Deuxième et troisième enfant d’une fratrie de cinq. Ce qui est assez peu pour des sorciers. Elle trouvait que déjà cinq enfants demandaient beaucoup de travail donc elle n’osait pas imaginer avoir plus d’enfant.
Nous habitons dans un manoir loin de tous. La commune la plus proche étant un petit village de 500 habitants occuper que par des sorciers à une heure en voiture. Pour ces raisons, nous disons que nous sommes presque coupés du monde.
Il y avait une raison a se choix. La peur des magiciens. La famille Williams a décidé de ne pas habiter les grande villes ou village et de se cacher dans au fin fond des campagnes anglaises. Tout cela afin d’éviter de rencontrer des magiciens. L’éducation est prise en charge par les parents et les rencontres entre les membres de la famille éloigné sont interdite.
Le père de Gwenn, Jake Williams, est le chef de famille. D’ailleurs, c’est lui qui a décidé de séparer la famille pour éviter les soucis. C’est, en plus d’un talentueux sorcier et un père protecteur, un écrivain ainsi que un passionné de littérature. Il passait des soirées entières à raconter des histoires qui l’inventais quand j’étais une enfant.
Il est marié à une des femmes les plus bienveillante que je connaisse : ma mère. De son nom de jeune fille, Leslie Evans est une personne prête à tout pour aider son prochain. Elle ne ferait même pas mal a une mouche en plus de faire les meilleurs gâteau que je connaisse!
Son premier enfant est nommé Sunny. C’est un garçon qui a hérité de la gentillesse de sa mère. Il adore passer son temps à chouchouter ses frère et sœur. En plus, c’est lui qui l’hérité de la famille. Je suis sûr qu’il en ferait excellent.
J’ai aussi un petit frère et une petite sœur nommé respectivement Charlie et Megan. Le premier est un petit garçon joueur et curieuse et la deuxième est une farceuse et joyeuse.
Et évidemment, je ne pourrais pas parler de ma famille sans mentionner ma sœur jumelle Eden. Elle avait beau avoir la même apparence, elle n’avait absolument pas le même caractère que moi! C’était quelqu’un toujours énergique et avec un fort caractère. Elle me protégeait toujours contre ceux qui me voulais du mal. Nous étions inséparables. Malheureusement, les meilleurs partent les premiers. Elle est morte d’une leucémie.
Après cet événement, je me suis renfermé sur moi-même. J’essayai tant bien que mal de réaliser la demande de ma jumelle mais j’avais du mal. J’avais l’impression que quelque chose c’était brisé en moi. Sunny le voyait très bien vu qu’il m’entendait pleurer dans ma chambre le soir venu. Il me réconforta. Malheureusement, cela ne marcha que très peu.
Un jour, une fille à peine plus vielle que moi s’était perdu dans le village. Je lui indiquai le chemin. Une fois chez elle, elle me demanda de venir la voir le lendemain pour jouer. Je suis venu le lendemain, puis le surlendemain et ainsi de suite.
Son nom était Emily. Elle venait d’arriver au village et n’avait pas d’ami. Rapidement, nous sommes devenus inséparable comme avec ma défunte sœur jumelle. C’est grâce à elle que j’ai pu surmonter la mort de celle-ci.
Emily avait quelque chose de particulier comparé a ceux habitant le village. C’était une magicienne. Quand je l’ai appris, Je suis devenu méfiante a son égard. Ma famille et mes amis ne cessait de dire de me méfier des magiciens mais, moi, j’étais toujours curieuse de savoir qui étaient véritablement les magiciens et, effectivement, ils n’étaient pas tous comme ceux que décrivaient ses parents. Emily étant la preuve.
A cause de sa race, mon amie se faisait harceler par de jeunes adolescents ayant appris sa nature par accidents. Assez ironique vu que c’est généralement l’inverse qui se produit normalement.
Un jour, où un d’entre eux frappa Emily devant mes yeux. Je me mis à bouillonner de rage et, emporté par la colère, je donnai un coup dans la tête de l’harceleur. Il était si fort que l’harceleur tomba au sol inconscient.
Heureusement, il n’avait pas une blessure trop grave. Je fus grondée par mes parents qui ne croyait pas leurs yeux que j’ai pu faire cela malgré qu'il savent que mes émotion prenne souvent le pas sur ma conscience.
Soudainement, je m’y à faire des cauchemars toutes les nuits. Ils étaient horribles. A chaque fois, je faisais du mal à quelqu’un et, de nuit en nuit, cela empirait. Je n’arrivais presque plus à dormir. Cela n’a duré que deux semaines avant qu’une marque apparaissent sur mon épaule gauche. Un œil pleurant une larme bleuté.
J’avais déjà vu le même phénomène arriver à Sunny peu après la mort d’Eden. Il avait aussi fait des cauchemars puis une marque est apparu sur son torse. Avec cela, il avait obtenu une peur de tombé malade.
Avec mes rêves, j’en ai conclu que ma malédiction avait un rapport avec le fait de faire du mal aux autres. J'en parler a mes parents qui m'ont juste rassurer que cela ne changerais surement peu ma vie mais je découvris rapidement par accident que la malédiction avait pour conséquence des pulsions violentes.
Après avoir découvert cela, je recommençai à me replier sur moi-même. J’avais trop peur de faire du mal a autrui a cause cet malédiction. Emily tenta de me faire revenir comme avant mais rien n’y fait.
Un matin d’été, je découvris dans le journal que l’école Sainte-Catherine acceptait maintenant les sorciers. J’ai toujours rêvé d’aller dans une école. Je demandai à ma mère de m’inscrire à cet école.
– Gwenn, est-tu vraiment sûr? C’est loin d’ici et ça irait à l’encontre des principes de la famille.
– Oui, maman. Tu sais que j’ai toujours rêvé d’aller dans une vraie école. On peut contourner les principes juste cet fois. Ce n’est pas en s’isolant qu’on va faire la paix avec les magiciens.
– Bien… Je vais en parler à Jake.
Ce fut qu’elle fit. Mon père n’était pas d’accord mais, grâce au soutien de Sunny, je réussis à négocier.
Un après-midi, je mis mon uniforme et partie pour l’école. Mes frères et sœurs restèrent au Royaume-Uni ainsi que ma mère. Elle avait de la peine de voir sa fille partir si lion d’elle. Emily était aussi très triste mais elle était heureuse pour moi. C’est mon père qui m’accompagna en France. A l’arriver, il me laissa en me somment de l’appeler tous les jours pour vérifier que tous les jours pour vérifier qui je vais bien.
Et c’est ainsi, que je suis arrivé à l’école Sainte-Catherine.