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Aaron ~★ [TERMINÉ]
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MessageSujet: Aaron ~★ [TERMINÉ] Aaron ~★ [TERMINÉ] EmptyMer 4 Oct - 22:19
Di Ilsen Aaron
ft. Alone de Saint Seiya Lost Canvas

• Âge : 18 ans

• Espèce : Sorcier

• Nationalité : Italien

• Situation familiale : 4 petites soeurs

• Groupe : Dragon

• Familier : Un chat noir nommé Pharaon

• Objet Magique : Un collier avec l'inscription "Yours Forever"

Caractère

Je ne vais pas vous mentir, je n'aime pas me présenter. Parce que honnêtement, je ne pense pas avoir à le faire. Ce n'est pas grave si vous ne me connaissez pas. Par contre, si vous êtes d'Italie, vous sortez probablement de sous le Colisée ou alors vous n'avez pas beaucoup de culture. Je ne peux pas vous en vouloir non plus, puisque je ne vais pas forcément m'embêter à retenir vos propres noms. A quoi bon, en vérité ? Nos chemins ne se recroiseront probablement plus jamais.

Mais aujourd'hui, exceptionnellement, je vais faire un effort. Vous me trouverez certainement condescendant, hautain et dédaigneux. Que puis-je vous dire de plus ? Ce sont mes trois principales qualités. Le mythe de l'italien au sang chaud, vous pouvez vous le garder. Mon père est toujours fier de me décrire comme étant une personne froide, un mur de glace impénétrable Et comme le dis ma mère, mieux vaut se faire reconnaître par ses actions que par ses paroles.

Mais n'allait pas croire que je sois absolument sans cœur. Ma famille, et donc moi, nous investissons énormément dans des actes qu'on pourrait décrire comme étant charitables, notamment une éducation magique convenable pour les jeunes sorciers de les villages aux alentours. Nous offrons également des repas réguliers aux orphelins du quartier pauvre. Pas pour nous montrer, nous n'avons pas besoin de cela.

Cette information n'a pas grande importance mais j'ai quatre sœurs. Non, nous ne sommes pas spécialement proches. Elles étudient également à Sainte Catherine, sauf la benjamine, mais nous n'avons pas été élevés pour former la parfaite et joyeuse petite famille italienne. Je n'en ressens pas l'envie et j'ignore totalement si c'est le cas de leur côté. Je ne veux pas changer maintenant.

Je ne suis pas l'élève numéro 1 de Sainte Catherine. Je réserve cela à ceux qui ont du temps à perdre. J'aime étudier -surtout les Potions-, là n'est pas le problème. Mais pourquoi s'épuiser à vouloir tout faire parfaitement ? A la fin de l'année, j'aurai également mon diplôme et je reprendrai la suite de mon père. Ma voie est déjà toute tracée et ce que vous pouvez penser, ça me passe largement au dessus.

Je n'ai vraiment ce qui vous pourriez qualifier d' « amis ». Pour quoi faire ? Et puis, pour seulement une année ? Inutile de m'occuper l'esprit avec cela. Je ne suis pas désagréable plus que nécessaire. J'aime avoir mon espace, j'aime qu'on le respecte. Mais autant vous le dire, je passe la plupart de mon temps libre dans le jardin des Nymphes : quel endroit magnifique ! C'est si calme, si reposant et surtout si beau ! Car voyez-vous, j'aime peindre. J'aime cela plus que tout ! J'aime représenter ce que je vois, donner vie à cette toile blanche, la recouvrir de mille couleurs.  Ma passion et, sans m'encenser, mon talent pour cet art m'ont conduit à diriger la section de la peinture du club d'art de Sainte Catherine.

Il paraît que je suis un peu plus aimable à ce moment là, que je m'ouvre plus facilement. Il est vrai que j'aime discuter de ce sujet et que je prend beaucoup de plaisir à « enseigner » les bases de la peinture à ceux et celles qui désirent s'y initier.  
Nous avons rendez-vous tous les Lundi soir à partir de 18h … je serai ravi de vous accueillir. Mais attention ! Je suis très sévère.

Concernant ma nature de sorcier, elle ne me fait ni chaud ni froid. Mais mes cauchemars récurrents me conduisent à de longues insomnies et des fois, je dois bien l'avouer, je suis clairement agressif le matin venu, quand le manque de sommeil est plus difficile à gérer. Alors je peint. Je peint jusqu'à chasser les ombres qui me tiennent par les poignets, par la taille, par les jambes. Comme si colorer la toile pouvait chasser le noir qui m'entoure. Je déteste ce côté de ma nature : celle qui me fait ressembler à un petit garçon, terrifié par ce qu'il voit et que les autres ne voient pas.

Physique

Je pense honnêtement que j'aurais pu être le type de garçon à passer inaperçu si j'étais « normal ». Mais je ne le suis pas. Je ne voudrais pas l'être. Je suis grand, un bon mètre 84 et je suis très fin. Mon père, pur italien jure énormément par la virilité, par la présence de muscles. Je sais que je le déçois sur ce point là : j'ai beau tenir un entraînement sans soucis, je n'aurai jamais sa carrure. Mon ventre est plat, si on vient à me frapper dedans, mon agresseur se fera probablement mal mais aucune tablette pour prouver ma force. J'ai des bras fins, plus habitués à manier un pinceau qu'à soulever des poids.

De mes deux parents, je ressemble donc le plus à ma mère : issue d'une branche familiale qui avait des ancêtres allemands, nous sommes tous les deux blonds aux yeux bleus. Un bleu vraiment magnifique, que je n'arrive jamais à copier en peinture. Mais j'y travaille. Cependant, j'ai décidé un jour de me teindre les cheveux. Un brun très sombre, noir de jais presque pour rappeler mon père. Mais ce sera bien la seule chose que nous avons en commun. J'ai choisi de les garder très long. Les quelques moqueries que je reçois ne me fond ni chaud ni froid. Ils me plaisent bien comme ça. Peut-être les couperai-je un jour …

Cette couleur ténébreuse me plaît tellement plus que mon blond naturel. Elle fait ressortir ma peau blanche, très aristocratique. Je vois le soleil régulièrement quand je vais peindre dehors et c'est probablement cela qui m'évite le teint maladif. Mais le soleil italien est bien plus brutal que le soleil français et j'attrape souvent des coups de soleil quand je reste trop longtemps au même endroit. Les vêtements noirs ne sont probablement pas une bonne idée pour peindre, ils attirent le soleil.

Mon visage paraît toujours fermé et c'est volontaire. J'aime me donner ce côté « adulte », ce côté que je vais bientôt devoir uniquement garder, le seul que je pourrais afficher quand je serais à la tête de la famille Di Ilsen. Peut-être trouverez-vous cela un peu contradictoire mais j'essaie de toujours garder de bons liens avec mes sœurs. Pas d'amour fraternel mais plus comme … des partenaires, avec le but commun de faire prospérer notre famille.

Je me considère très chanceux dans mon adolescence : je n'ai eu que de rares boutons d'acné et je me réjouit plus que nécessaire de cette situation. Quand j'en vois certains, qui n'ont pas eu ma  chance indécente, je sens pris de pitié pour eux. Quelle vie triste tout de même, ils seront éternellement pris pour cible.

Le dernier détail qu'il me faut vous expliquer, c'est mon tatouage. Il s'agit d'un miroir à main, dans un style très ancien avec ses ornements en relief. Le manche, plutôt discret serpente le long de mon poignet tandis que la forme ovale se plaît à recouvrir la peau juste sous mon coude. Vous l'aurez compris, tout mon avant-bras est tatoué. Ce qui ne me dérange pas, je porte très souvent des manches longues. Sauf quand je peint, quand le tissu autour de mon bras est plutôt ample, mon tatouage se révèle aux yeux de tous. Nous sommes nombreux à Sainte Catherine à devoir vivre avec ce poids donc, je n'ai pas à me plaindre.

Chacun porte sa croix comme dit l'adage.


Histoire

01 Décembre, le soleil de Sardaigne tape fort tandis que ma mère,Sofia Gott serre la main de sa mère, présente dans la chambre d’hôpital. Elles visitaient la ville natale de Nico, son époux  quand les contractions avaient commencé. Et la plus âgée des femmes avait insisté pour accompagner sa fille, laissant son beau-fils près de l’embarcadère. Et de toute façon, ce n'était pas comme si mon père désirait réellement être présent à ce moment-là. Il ne voulait pas voir son épouse ainsi. Dès le départ, mon père ne nous laissait pas beaucoup de possibilités pour créer des liens immédiats.

J'étais somme toute, relativement normal comme bébé. Pleurer, manger, faire se déplacer ma nourrice en pleine nuit … La base. Mon père avait insisté pour que ma mère respecte la tradition italienne, à savoir s'occuper elle-même de moi mais la douce Sofia était bien trop épuisée, nuit après nuit. Et Nico n'allait certainement pas s'y coller.

Et pourtant, à peine un an après ma naissance, une première petite sœur vint au monde. Puis une seconde l'année d'après, puis une troisième puis une quatrième. Je serais assurément l'héritier du vignoble et celui qui devra faire perdurer notre nom. Ce qui en soit, n'était pas la fin du monde.

Nous vivions dans un magnifique villa digne de la Toscane, au cœur du petit village de Castiglion Fiorentino. Mon père est à la tête d'un vignoble très rentable, ce qui nous offrit une vie confortable. Je me souviens des heures passées à flâner entre les vignes, ma main dans celle de ma mère. Je me souviens du goût du raisin contre mon palais, sucré, les pépins croquant sous mes dents d'enfant. Je me souviens de gravir les marches en pierre menant à notre terrasse, mes petites sœurs gambadant avec plus ou moins d'équilibre.

Je me souviens de l'Italie et de son rythme lent, appréciant le soleil, lors d'une sieste, accompagnée par le chant des cigales. Et qui dit Italie, dit œuvres d'art. Plus spécialement dans mon cas, je m'intéressa de suite à la peinture. J'appris très vite par passion, remplissant rapidement les couloirs de notre villa avec mes tableaux. J'appris également les langues : l'allemand (que ma mère m'enseigna avec tout son amour pour le pays de ses arrières-grands-parents), l'anglais et le français, patrie du vin.

Mon père me faisait venir avec lui trois fois par semaine au vignoble pour qu'il m'explique comment transformer notre simple raisin en un vin vendu dans l'Europe entière. Je fréquentais alors les employés, mon père s'assurant que je les respecte sans pour autant m'abaisser à leur niveau. J'allais être leur employeur un jour après tout.

Très rapidement, mes études, ma passion pour la peinture et les visites au vignoble me laissèrent peu de temps pour être le grand frère que ma mère aurait sans doute aimé que je sois. Elles étaient si petites, si protégées, si fragiles … pendant qu'elles habillaient leurs poupées, je portais des costumes pour accueillir, aux côtés de mon père, les Hollandais, les Suisses, les Suédois et tous les autres qui désiraient être régulièrement fournis par notre vignoble. Ce n'était pas une vie de rêve mais ce n'était pas un cauchemar non plus.

Je compris très vite ce qu'était un vrai cauchemar : celui qui vous glace d'effroi, vous emprisonne dans votre propre corps et vous faire voir les pires démons, d'habitude cachés. Mes parents m'avaient préparé à l'horreur de l'apparition de la marque. Mais rien de tout cela fut utile le moment venu. En fait, je n'avais pas imaginé que cela se passerait cette nuit-là. Je m'étais couché normalement, la chaleur était insoutenable et j'avais laissé ma fenêtre ouverte. Je dormais au deuxième étage, donc aucun risque que quelqu'un puisse passer par là (jamais assez prudent, parait-il).

Noir. Le noir pur, absolu ou aucune lumière ne peut passer. Un nuage opaque, étouffant et sans aucune chance de fuite. J'étais prisonnier. J'avançais malgré tout, à tâtons. Jusqu'ici, ce n'était qu'un cauchemar ordinaire. Mais quelque chose surgit, le noir se fendit et une douleur insoutenable brûla mon épaule droite. Puis la chose attaqua par la gauche. Des griffes lacéraient mon pyjama, des crocs plongeaient dans ma peau nue, celle de mes bras plus particulièrement. Je chutais mais me relavai et me mis à courir. Encore et encore.

Je n'était pas spécialement sportif. Je n'était pas non plus épuisé au bout de quelques minutes. Mais ici, dans ce rêve sans fin, je ne ressentais absolument aucune fatigue. Alors je compris : il n'y aurait pas de fin à ce cauchemar. Du moins, je ne serais pas celui qui clôturerait cet acte, le rideau ne tomberait pas grâce à ma main. Mais je pouvais pas m'arrêter. A nouveau, cette chose fonça vers moi et faucha mes jambes. Je chutais, heurtant mon épaule très douloureusement contre ce sol tout aussi noir. Mes cheveux blonds étaient tout aussi sombre que le reste. Aucune lumière pour me guider, pour m'offrir le Salut.

La chose se pencha vers moi, ses longs membres lui donnant un aspect assez perturbant à regarder. Je ne voyais pas de visage, pas d'yeux dans lesquels je pouvais plonger mon regard bleu. Ça se pencha, encore, encore plus près jusqu'à me sourire. Et enfin, je me réveilla. J'étais dans mon lit, glacé et pourtant en sueur. Mais quand je voulu lever ma main pour chasser les mèches dorés de mon front, mon bras refusa de bouger. Mes jambes non plus. Seuls mes yeux semblaient me répondre.

Et cette sensation … ce poids sur ma poitrine, qui appuie, qui tord mon cœur, qui se joue de ma peur ! J'étouffe. J'ouvre la bouche pour hurler mais j'arrive juste à émettre à grognement étouffé.  Je veux de l'aide ! N'importe qui, n'importe quoi ! Ma vision devient flou. Et enfin, je le sent : ce cri puissant qui monte dans ma gorge, qui exige de sortir. Et je hurle. Je hurle jusqu'à me briser les cordes vocales, je hurle jusqu'à alerter mes parents. Je ne reconnais pas ma voix et je n'entend rien d'autre.

Je m'arrête seulement quand les mains de ma mère caresse mon front. J'arrête parce que ma voix ne peut plus sortir. Dans les bras maternels, je me rend compte que je ne pouvais pas bouger le mien, simplement parce que ma main gauche le serre assez fort pour que mes jointures soient translucides. C'est une main plus forte, celle de mon père qui desserre mon étreinte. Pour la première fois, je vois mon tatouage, la marque qui me hantera pour le reste de ma vie : un miroir, baroque si je me rappelle bien de mes livres relatant l'Histoire, recouvre l'intérieur de mon avant-bras. Il est beau et en même temps si lourd à porter. Un miroir, image du passage entre plusieurs mondes. Un miroir pour évoquer ma peur de la peur. J'avais envie de m'arracher la peau.
Personne ne se rendormit cette nuit-là. Ce fut également la dernière fois que ma mère me prit aussi affectueusement contre elle.

Je continuais d'étudier la magie, avec un professeur Sorcier. Ma famille s'investit davantage dans des œuvres charitables et j'allais souvent à l'école du village où mon professeur donnait gratuitement des cours. Mais l'entraînement me faisait peur. Risquer de revivre ce cauchemar me faisait peur. J'avais peur de m'endormir, de retrouver cette chose. Alors dès que les premiers signes d'épuisement magique se faisaient sentir, dès que je voyais cette masse sombre dans le coin de mon oeil, toujours à m'épier, à attendre le bon moment pour frapper, j'arrêtais généralement mon entraînement et je passais à des choses ne réclamant que la lecture de manuels ou de la réflexion. J'étais un petit garçon entre les griffes de ce démon nocturne.

Ma vie continua tranquillement, ponctuée d'insomnie et de peinture. J'avais teint mes cheveux, comme si me peindre en noir me permettrait de me cacher dans ce cauchemar horrible, si jamais je devais y retourner. J'avais préféré dire que c'était par rapport à mon père : ce n'était pas faux non plus mais je savais que faire cela ne toucherait pas le coeur étrange de Nico di Ilsen. Je me voyais simplement avancer dans la vie, jour après jour, jusqu'à ce que Benjamin Leroy m'invite à rejoindre l'école Sainte Catherine. J'étais circonspect, mon père était mortifié qu'un Magicien puisse imaginer que l'entente entre nos deux races puisse être possible mais ma mère l'emporta avec son auréole de bonheur. « Quelle magnifique occasion ! » disait-elle. Alors j'accepta. Ce ne serait que pour un an après tout. L'occasion de quitter mon village de conte de fée pour me mêler à des étudiants de mon âge.

Je quitta ma villa italienne sans un regard en arrière, digne d'un empereur de la glace. Sainte Catherine était tellement différente. Mon français me parut soudainement rude quand j'entendis les autres autour de moi mais rapidement, cela ne m'inquiéta plus. J'étais un jeune homme mature, avec un destin tracé. Je valais tout autant qu'eux, voire plus pour certains. J'étais l'héritier de la famille Di Ilsen ! Le pendentif à mon tour, « Yours Forever », le prouvait largement.

Un passage de la lettre m'avait beaucoup intrigué, je devais l'avouer : la remise des Familiers. Rassemblés dans cette grande salle, la masse d'étudiants et moi-même attendions. Le repas fut copieux et je découvris bon nombre de plats français. Tout le monde faisait un effort, parlant uniquement français. J'écoutais distraitement, attendant juste que la lumière se fasse sur cette histoire de Familiers.

Et enfin, le moment fut venu. Benjamin Leroy, directeur de ce bel endroit, me présenta une drôle de boule avec de gros yeux. Vraiment laid. Mais qu'était cette chose ?! Je levai un sourcil vers l'homme, peu convaincu par l'état mental de cette personne. La petite boule tomba dans mes mains, étonnamment chaude, étrangement lourde. On se fixa, cette chose et moi et elle se transforma. Elle s'allongea, élancée, de petites pattes sur ma main, des oreilles guettant les bruits autour d'elle. Un pelage sombre, doux et ce ronronnement. Ce son déjà familier qui me fit prendre conscience que la transformation était terminée. Un chat, d'un noir de jais. Un animal magnifique. « Pharaon » semblait aussi dédaigneux que moi.

Un peu de vous

• PUF : Kamicams
• Âge : 21 ans !
• Comment avez-vous connu le forum ? : Gabriel m'a séduit ~ et je suis aussi le dédoublement de personnalité de Sasha
• Un petit avis sur l'univers ? : Il est merveilleux
•Depuis combien de temps faites-vous du RP ? :  Quelques années déjà

Aaron di Ilsen
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MessageSujet: Re: Aaron ~★ [TERMINÉ] Aaron ~★ [TERMINÉ] EmptyJeu 5 Oct - 11:57

Bon, il faut tout de même que quelqu'un réagisse à cette petite merveille alors...

Rebienvenue à toi Sasha ♥️
Aaron ~★ [TERMINÉ] 1672707778

Non seulement tu nous offres un beau Dragon, mais en plus j'ai vraiment adoré sa fiche. Son caractère, son histoire, j'ai franchement accroché à tout : il promet d'être un personnage agréable à lire, avec une peur particulièrement intéressante et que j'ai hâte de pouvoir lire à l'avenir.

Félicitations pour ce beau bébé Aaron ~★ [TERMINÉ] 4104578694
Lexa Dibra
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MessageSujet: Re: Aaron ~★ [TERMINÉ] Aaron ~★ [TERMINÉ] EmptyJeu 5 Oct - 12:58
Rebienvenue ♥️

Tu écris tellement bien my god j'ai dévoré cette fiche.

Aaron est adorable dis-moi *meurs*

Un dragon c'est cool ! Un senpai pour les autres 8D

Faudra voir si on se trouve un petit lien sympathique Aaron ~★ [TERMINÉ] 546198994

Bon courage pour la validation même si je doute aucunement que ça va être vite réglé XD

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MessageSujet: Re: Aaron ~★ [TERMINÉ] Aaron ~★ [TERMINÉ] EmptyJeu 5 Oct - 15:37


Félicitations !
tu es validé~

Ce n'est pas une surprise, mais il faut bien y passer comme tout le monde :huhu:

Ça me fait bizarre de voir que tu joues un garçon mais en même temps, son caractère est super intéressant donc je suis sûre que tu vas le gérer d'une main de maître~

Enfin un Dragon Sorcier, c'est Willy qui va être content ! Donc je ne te fais pas plus attendre et je t'ajoute ta couleur. Bon jeu ♥️


(c) Moona Neko
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MessageSujet: Re: Aaron ~★ [TERMINÉ] Aaron ~★ [TERMINÉ] Empty
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