Qu’il y a-t-il de pire qu’une journée qui a commencé sans café, ou l’on a perdu son travail, ou l’on loupe son bus pour rentrer et ou quand on arrive chez soi une voiture a écrasé sa boite aux lettres ?
Quand cette même voiture est l’ambulance qui viens cherche votre épouse en train d’accouché un mois avant la date prévu !
Et comment rendre cette journée merveilleuse ?
Quand votre épouse accouche de votre première et magnifique petite fille parfaitement en bonne santé !
Alors oui, quand toute la petite famille est rentrée chez elle le lendemain dans l’après-midi, c’était un peu le bazar, les publicités éparpillé dans le jardin, papa qui aurait bien besoin d’une douche même si maman passera avant, et l’absence du lit bébé qui n’est pas encore arrivé dans la chambre de l’étage.
Oui, papa n’aura pas à se lever tôt demain matin pour aller travailler, mais il se couchera tard pour tout ranger pendant que maman se repose avec la petite nouvelle a ces coté dans le petit couffin.
Mais ça n’était pas grave, car après tout, une nouvelle vie commencée a trois, pourquoi pas un nouveau départ également ?
Wilfired, le père de Lune, décida qu’il était temps de ne plus être employer et de créer son propre restaurent ! Et quelques mois après la naissance de la première fille Dynelli, naquit également le premier restaurent Dynelli ‘’Le clair de Lüne’’.
Sa maman Nellyne quand a elle reprit son activité d’infirmière à l’hôpital du centre-ville, quand Lüne eu 2ans et qu’elle se fit garder par sa tante. Cette dernière tenait une crèche privée qui n’accueillait que des enfants de sorciers, soit la plupart de ces cousins et cousines habitant en ville. Même si les sorciers ne se côtoient pas trop en temps normal, elle considérait que les enfants devaient commencer à se sociabiliser entre eux afin d’apprendre à ne pas user de leur pouvoir par inadvertance. Lüne grandit entouré de rire, de spectacle enchanté et de conte pas toujours si fantaisistes que ça.

Puis elle alla dans une école normal et eu une enfance des plus tranquille. Elle eut un petit-frère et une petite sœur, jumeaux, quand elle eut 7ans, et un autres petit frère l’année de ces 14ans.
Au collège, elle prenait des cours du soir avec un précepteur, un de ces oncles, qui lui apprenait les base de la magie. Elle gardait régulièrement ces petits cousins, et elle adorait ça !
Elle suivait également des cours de dessin et de peinture en périscolaire.
Vraiment, ça vie fut des plus calme et tranquille, pas de drame, pas d’accidents… Même au collège et au début du lycée, elle eut une adolescence simple, assez populaire, bonne élève. Elle suivait des cours spéciaux de magie l’après-midi
Quoi que…. Si quand même…
Il y eu cette semaine, suite de nuit de cauchemars, de fièvres, et de terreurs nocturnes !
Elle se retrouvais au milieux de la Garrigues, le vent faisait claquer son trench-coat vert et emmêlait ces cheveux détachés.
Des nuages noir imposant roulé des quatre coins de l’horizon, l’encerclant, amenant avec eux la pluie froide et drus.
Elle voulait s’enfuir, rentrer à l’abris, mes ces pied étaient comme paralipse de froid, alors que l’averse commencé à tremper la terre autour d’elle.
Le froid s’infiltrait le long de ces jambes, de ces bras, son visage fouetté par le crachin qui brouillait sa vue elle qu’elle essayait désespérément de sortir du bourbier dans lequel elle s’engourdissait.
Puis un éclair. Un instant suspendu de silence.
Et le tonnerre gronda, comme un monstre au-dessus d’elle près a lui fondre dessus.
Comme débloqué par le bruit, elle se mit à courir entre les pierre.
La foudre tomba a sa gauche, la faisant trébuché au sol.
Elle se relève, se remet à courir, pour se faire de nouveau attaquer à sa droite quelques mettre plus loin.
Elle court en évitant les lames électriques qui la menace de toutes part.
Puis le bord de la falaise, elle ne plus continuer.
Elle se retourne.
La foudre se plante tel une lance dans sa poitrine dans un déchirement de douleur et de cris !
Elle se réveille en sueurs, son propre cris raisonnant encore dans ses oreilles, le lit retourné, une douleur dans la poitrine.
Ce n’est qu’au bout de cinq nuit de torture que la marque de la malédiction en forme d’éclair, tel une brulure, s’imprima sur son plexus.
…
Quand elle reçut la lettre comme quoi l’école Saintes Catherine ouvrait ces portes aux élèves sorciers, elle du quelques peu supplier ses parents de la laisser y aller.
Elle voulait découvrir d’autres personnes, vivre dans une grande école prestigieuse, montrer qu’elle avait autant sa place dans ce monde que n’importe qu’elle personne manipulant la magie !
Elle aurait adoré faire partie des premiers élèves sorciers a être traité d’égal a égal avec les élèves magiciens !
C’était une révolution, un pas de géant pour le monde magique !
Les rivalité entre les sorciers et les magiciens inquiété ces parents, qui même si très tolérant, avait fortement un peu peur pour leur fille.
Mais elle les rassura, et ces convictions eurent assez raisons de leurs inquiétude pour qu’ils acceptent et qu’ils remplissent les papiers d’inscription à l’établissement.